Pole Education

1-Introduction

L’accès à l’éducation et à la formation représente un aspect majeur de l’intégration sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap.

Ces dernières peuvent cependant faire face à différentes difficultés pendant leurs études : difficultés liées à la communication, à l’accessibilité architecturale, au matériel pédagogique non adapté, etc. Pour pallier ces difficultés, le  projet pôle Education interviendrait  au cœur des établissements scolaires lors de conférences, de débats café, pour prévenir les comportements à risque et l’exclusion, sensibiliser les élèves au respect des différences. Le handicap devient un outil de médiation pour aborder des thématiques saillantes à l’école : harcèlement, hygiène de vie, troubles alimentaires, suicides.

Pour remédier à cette difficulté, le CFC pôle Education pour personnes handicapées est concerné par la question de l’accessibilité aux études des personnes en situation de handicap et vous proposent un guide pour des études accessibles – Du préscolaire à l’université.

L’objectif de ce pôle est de mieux faire connaître les ressources et les mécanismes permettant d’y avoir accès. Le guide qui est en cours de création serait divisé en cinq parties correspondant à chaque niveau scolaire :

  • Préscolaire, primaire et secondaire
  • Éducation des adultes
  • Formation professionnelle
  • Études collégiales
  • Études universitaires.
  • Pour chacune des parties, vous trouverez les réponses à cinq questions de base :
  • À qui s’adresser pour recevoir de l’aide lors de ses études ?
  • Quels sont les services auxquels la personne a accès ?
  • Est-ce qu’un diagnostic est nécessaire pour recevoir des services ?
  • Y-a-t-il des frais à payer pour la scolarisation d’une personne en situation de handicap?
  • Y-a-t-il des mécanismes de recours lorsqu’il y a un problème ou un désaccord ?

La santé, les Alternatives

La diminution des remboursements et l’instauration d’une médecine à deux vitesses sont une tragédie nationale.

La prévention et la recherche sont insuffisamment développées en France.

Choisir son logement, sa mobilité, son environnement permet de vivre plus heureux.

Choisir son parcours résidentiel et ses aides à domicile est un enjeu de société fondamental.

La solidarité nationale doit veiller à restaurer le principe d’égalité grâce à des dispositifs de compensation équitables.

Nous mettrons donc tout en œuvre pour :

1. La mise en place d’une véritable politique de développement de la recherche médicale et pharmaceutique dans un partenariat Public – Privé, pour proposer de nouvelles thérapies, générer de la croissance économique au service d’une médecine à priorité humaine.

2. Remboursement à 100 % des dépenses réelles de santé en y incluant les lunettes et les soins dentaires. Suppressions des franchises médicales et hospitalières.

3. Le renforcement et respect des règles professionnelles et déontologiques chez les kinésithérapeutes et infirmières : interdiction de refuser un soin.

4. La fin des fermetures et démantèlements d’hôpitaux, de maternités, de centres de soins, etc.

Il faut reconstruire et développer un service public de santé basé sur la proximité et la qualité des soins. L’accès aux soins pour tous sur tout le territoire.

5. La prévention en direction à la fois de la population générale et des groupes les plus vulnérables.

La santé n’est pas une seule question de soins ! N’oublions pas les problèmes de santé mentale, la prévention des troubles du comportement alimentaire et des diverses toxicomanies et la vaccination entre autres.

6. L’égalité d’accès aux soins et une véritable couverture médicale universelle pour tous et toutes doit être garantie.

7. La reconnaissance du droit à mourir dans la dignité.

8. Mettre la lutte contre les inégalités sociales face à la mort et la durée de vie au cœur de la politique de santé.

9. Bien choisir ses aides nécessite une information adaptée : une mise à disposition des aides techniques autant que de besoins avec une compensation intégrale et mise à disposition sur internet d’un service d’information et de consultation en aides techniques sur le modèle autrichien.

10. Nous sommes tous un jour ou l’autre en situation de vulnérabilité. Des outils doivent être développés pour lutter contre l’odieuse loi du silence : la création d’un observatoire national de la maltraitance sur personne vulnérable.

11. Une aide humaine rendue possible 24 h/24 7J/7 pour les personnes très lourdement handicapées.

12. L’architecture et l’urbanisme sont souvent à l’origine de mal-être et d’insécurité. La ville doit être un vecteur de développement durable : un audit doit être réalisé dans chaque commune par la Commission pour l’accessibilité, sur l’état des lieux pour tous les types de handicap (physiques, sensoriels, mentaux et même l’âge).

13. Rassemblement de tous les régimes de santé en une seule et unique Sécurité Sociale.

14. Le droit à l’intimité et à la sexualité doit être clairement inscrit dans les règlements intérieurs des institutions, centres d’hébergement et foyers.

15. La création d’associations spécialisées accréditées par les pouvoirs publics apportant conseil et assistance à domicile en termes de sexualité (éducation sexuelle – considérée non seulement sur le plan de la contraception et de la prévention des maladies sexuellement transmissibles, mais également en termes d’éducation sentimentale et sexothérapie).

16. Supprimer dans la loi la prise en compte des revenus et du patrimoine pour le droit à compensation.

17. Imposer qu’au sein des MDPH la moitié de la commission exécutive soit élue par les Personnes handicapées du Département, qu’elles soient issue du milieu associatif ou pas.

18. Surveiller de près les lieux où les personnes malades, âgées, en convalescence ou toutes personnes en situation de faiblesse sont placées. Il y a un énorme travail tant par la création d’emploi que par la gestion/formation du personnel et des patients.